Gérer de la matière résiduelle n’est pas une mince affaire. Contrairement à la croyance populaire, il faut bien plus qu’un simple « trou » pour enfouir les déchets.
Au cours des dernières décennies, les équipes des sites d’enfouissement ont acquis une meilleure connaissance des impacts potentiels de leurs activités. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous avons développé notre expertise et que nous opérons depuis 2000 un LET (Lieu d’enfouissement technique). Grâce à cette pratique, nous avons mis fin au LES (Lieu d’enfouissement sanitaire).
Avec l’application des différentes membranes et des couches drainantes, Zone-Éco est fier de contribuer à la diminution de l’impact environnemental et de leurs effets à long terme.
Selon l’article 41 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19), la procédure de destruction immédiate pour la disposition de l’amiante est la suivante :
Zone-Éco doit préparer le site à l’avance pour cette destruction. Ainsi, le client apportant de l’amiante doit avertir 1 heure à l’avance de sa venue. Les chargements contenant de l’amiante sont refusés après 15 h 30.
Toute matière contenant de l’amiante doit être disposée dans les sacs jaunes à déchets d’amiante prévus à cet effet (« sacs bonbons »), étiquetés selon les exigences de la règlementation en construction. Les sacs doivent être doublés d’un autre sac transparent et scellé avec un ruban adhésif.
Des frais supplémentaires s’appliquent à la disposition de l’amiante.
L’article 4 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19) stipule que les matières suivantes ne peuvent être éliminées dans un lieu d’enfouissement :
L’article 38 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19) fait mention que les matières résiduelles doivent, dès leur réception, faire l’objet d’un contrôle radiologique au moyen d’appareils permettant de déceler la présence de matières radioactives.
Zone-Éco est donc équipée d’un appareil qui décèle toute trace de radioactivité à l’entrée de la balance. Cette machine est calibrée pour vérifier les véhicules à basse vitesse. Les véhicules doivent passer à une vitesse maximale de 5 km/h sur la balance, sinon l’alarme est déclenchée et le véhicule devra retourner en file pour repasser sur la balance.
Des puits de captage des biogaz sont installés sur le site, pour extraire les biogaz produits par les matières résiduelles enfouies. Cela permet de diminuer l’impact que le méthane (CH4) peut avoir sur l’atmosphère, qui est 26 fois plus nocif pour l’environnement que le dioxyde de carbone (CO2). Jusqu’à présent, on brûle le méthane pour le transformer en CO2. Toutefois, un projet de valorisation des biogaz sera mis en service au cours de l’été 2024, qui permettra d’injecter les biogaz raffinés du site d’enfouissement dans le réseau de gaz naturel. Les biogaz seront purifiés pour obtenir une concentration de plus de 95 % de méthane pour fins d’injection.
Gérer de la matière résiduelle n’est pas une mince affaire. Contrairement à la croyance populaire, il faut bien plus qu’un simple « trou » pour enfouir les déchets. Au cours des dernières décennies les sites d’enfouissement ont acquit une meilleure connaissance des impacts potentiels de leurs activités. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous opérons depuis 2000 un LET ( Lieu d’enfouissement technique) ce qui a mis fin au LES (Lieu d’enfouissement sanitaire). Cette nuance permet de diminuer l’impact environnemental et de réduire leurs effets à long terme. Notre équipe est fière d’appliquer les meilleures pratiques et les dernières innovations techniques de notre domaine. Nous apportons un soin particulier à la gestion de nos infrastructures afin d’en maximiser le potentiel.
Selon l’article 41 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19), la procédure de destruction immédiate pour la disposition de l’amiante est la suivante :
La Régie doit préparer le site à l’avance pour cette destruction. Ainsi, le client apportant de l’amiante doit avertir 1 heure à l’avance de sa venue. Les chargements contenant de l’amiante sont refusés après 15 h 30.
Toute matière contenant de l’amiante doit être disposée dans les sacs jaunes à déchets d’amiante prévus à cet effet (« sacs bonbons »), étiquetés selon les exigences de la règlementation en construction. Les sacs doivent être doublés d’un autre sac transparent et scellé avec un ruban adhésif.
Des frais supplémentaires s’appliquent à la disposition de l’amiante.
L’article 4 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19) stipule que les matières suivantes ne peuvent être éliminées dans un lieu d’enfouissement :
L’article 38 du Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Q‐2, r. 19) fait mention que les matières résiduelles doivent, dès leur réception, faire l’objet d’un contrôle radiologique au moyen d’appareils permettant de déceler la présence de matières radioactives.
La Régie est donc équipée d’un appareil qui décèle toute trace de radioactivité à l’entrée de la balance. Cette machine est calibrée pour vérifier les véhicules à basse vitesse. Les véhicules doivent passer à une vitesse maximale de 5 km/h sur la balance, sinon l’alarme est déclenchée et le véhicule devra retourner en file pour repasser sur la balance.
Des puits de captage des biogaz sont installés sur le site, pour extraire les biogaz produits par les matières résiduelles enfouies. Cela permet de diminuer l’impact que le méthane (CH4) peut avoir sur l’atmosphère, qui est 26 fois plus nocif pour l’environnement que le dioxyde de carbone (CO2). Jusqu’à présent, on brûle le méthane pour le transformer en CO2. Toutefois, un projet de valorisation des biogaz sera mis en service à la fin de l’année 2023, qui permettra d’injecter les biogaz raffinés du site d’enfouissement dans le réseau de gaz naturel. Les biogaz seront purifiés pour obtenir une concentration de plus de 95 % de méthane pour fins d’injection.